Guido avait mis sur la piste l’étudiant que j’étais. Je voyais déjà le chapitre de thèse et les articles qui en suivraient. Il fallait simplement « importer » des revues adventistes. Puis, comparer les sommaires. Et ensuite regrouper les revues qui se ressemblent. Voilà qui devrait être simple, surtout qu’il s’agit quand même uniquement de versions locales, pays par pays, de la Revue Adventiste ! Le travail serait ainsi bouclé. J’imaginais arriver à démontrer, statistiques à l’appuie, taux de récurrence créé, qu’en gros les adventistes avaient dans tous les pays un regard identique, forgé par leur patrimoine (histoire de l’Eglise, théologie, Institutions socialisatrices…). Certainement il y aurait des variations régionales mais celles-ci resteraient des variations et non des différences. Avec quand même le mythe de la facilité je me suis lancé. Du Nord, facilement ont peut obtenir des revues lusophones et hispanophones. J’ai pu obtenir une série de Revue en provenance de Roumanie. Des USA j’en avais trop. Dès Antilles, La Sentinelle, puis le Reflet, et La Revue furent des publications que j’ai cumulées. J’avais veillé à ce que toutes les revues soient sur la même période.
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Chronique : diversité adventiste et la Revue adventiste. Phase 1 « La leçon de frère Guido »
1999, j’entame après une année de réflexion mes recherches sur l’Eglise Adventiste. Je travaillais comme veilleur de nuit dans un hôtel. Toutes mes demandes de bourses n’eurent que des réponses négatives. Tout le monde me disait une seule chose : pourquoi aller subventionner une étude sur un groupe religieux inconnu ? L’équation était simple : pas d’argent = pas de recherche. Mais une solution pointait du nez.
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Chantiers 2009
Loin d’une simple convenance : BONNE ANNEE. Souhaitons-nous déjà de nous souhaiter ce qui doit l’être en se posant des objectifs réalisables.Surchargé, je vous néglige. Je ferai mieux rassurez-vous. Quels sont les premiers sujets sur lesquels nous viendrons en ce début d’année. Je vous parlerai des ponts relationnels possibles entre l’Eglise Adventiste et l’Islam à partir de ma propre expérience comme responsable, sous la responsabilité de Régis Dericquebourg, au sein de l’Institut Avicenne des Sciences Humaines durant 2 ans. Peut-être que cela fera écho à la rencontre du même type organisée à Collonges. Je rappelle que l’Institut privée Avicenne avait pour objectif de donner une formation supérieure en théologie, droit et sciences-humaines sur le monde musulman. Je dis « avait » car l’IASH est à ce jour un vaste échec (peut-être nous y reviendrons).
Nous parlerons brièvement de la Revue Adventiste. Chandler vous a déjà proposé un développement. Mais comme j’ai partiellement travaillé sur des sommaires de la Revue durant quelques mois je vous parlerai d’un échec fort intéressant que j’ai eu en voulant analyser les Revues Adventistes.